Écrire est toujours um grand défi.
On observe que nous trouvons tous quelques difficultés quand nous voulons manifester par écrit ce que nous pensons.
De temps en temps, ces difficultés nous enveloppent avec une plus forte expressivité.
On sent bien l’existence de situations embarrassantes quand, par exemple, on essaye de se souvenir du mot ou expression indispensable dans certaines ocasions.
Cette sorte de chose nous tourmente l’esprit.
Il-y-a une bataille constante en quête des mots ou expressions les plus adéquats.
Celui qui se donne le travail d’écrire aperçoit, avec ou sans conscience, les effets naturels de ce phénomène.
Il est comme celui qui s’enharde de pénetrer une forêt merveilleuse, infinie et pleine de dangers.
Donc, les charmes que la magie de cette nature offre attirent chaque fois plus.
Peu à peu, surgissent les premières surprises.
On observe minutieusement une harmonie frappante entre le merveilleux gazouiller des oiseaux et l’asperité chouchoutante des chutes d’eau.
Les papillons, avec leur joyeux et exuberant bariolé, vivifient et font disparaître la monotonie visuelle du vert sans fin du bois.
Elles connaissent au fond la beauté qu’il-y-a dans la loi de toute la garrigue.
L’échange merveilleux et trop équilibré des bénéfices entre les royaumes animal, vegetal et mineral.
On sent donc un désir implacable de poursuivre la promenade.
Tout fait du bien aux cinq sens:
- c’est la cantilène des oiseaux, qui nous fait du bien à l’audition;
- c’est la flore, pleine d’arbres branchus, lesquels ne laissent presque pas les rayons du soleil toucher le sol couvert de gazon, que nous fait cadeau à la vision;
- c’est le parfum hallucinant qu’émane de toute la flore, que nous enorgueille l’odorat;
- c’est le contact direct et salutaire avec l’éau cristaline du riveraine, que nous estimule le toucher;
- c’est le fruit mûr, cueilli et consommé beaucoup plus par derision ou plaisir que pour necessité, que nous aiguise le gout.
Et l’individu finit par se perdre dans ce monde sans fin de choses si merveilleuses.
Voilà ce qu’arrive à qui ne resiste pas la temptation de satisfaire le désir d’écrire tout ce que l’émotion lui demande.
mardi 10 mars 2009
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Para um autodidata na língua francesa, você sabe muito. Continue praticando. Gostei da sua iniciativa. Gosto de pessoas que não têm medo de errar.
RépondreSupprimerMeu amigo:
Postei no Galeria. Peço que vá ver, pois talvez fique muito tempo sem postar.
Um abraço,
Renata
Renata, que satisfação ler este seu comentário inaugural aqui. Muito obrigado. Vou lá, também.
RépondreSupprimerJoão Alves,
RépondreSupprimertrès bien, mon ami.
L'année dernière je suis allé à la France et j'ai vu quant il faut savoir la langue que j'avais oublié.
Abraço
Carlos Soares
Carlos. Nous savons la même chose. Qu'il fault savoir chaque fois plus. Merci
RépondreSupprimerVocê é realmente um escritor e muito bom em línguas. Há pessoas que têm esse dom como você e, sem falsa modéstia, eu.
RépondreSupprimerAmigo:
No último dos 3 dias que fico em casa, os outros 4 são dedicados ao meu bem-estar físico fora de casa, convido você a apreciar e deixar a sua opinião no meu post no Galeria.
Um abraço,
Renata
PS: Depois, dê um pulo no FEMININA, vc vai gostar!
Ler-te faz bem aos cinco sentidos (mesmo sem saber o significado de algumas palavras, sem, no entanto, prejuízo maior para a compreensão do texto).
RépondreSupprimerGrande abraço!
Ana Guimarães
Isso mesmo, Renata. Lerei, com o tempo, tudo o que ainda não li em seus blogs, de certeza, pois vale, eu sei.
RépondreSupprimerAbraços
Ana, é sempre uma honra para mim ser seu anfitrião. Sobre este texto específico, ele foi criado originalmente em português por meu irmão Ednelson. traduzi-o ao francês e ao inglês como simples exercício. Acho muito bonito e inspirado esse texto dele e ele está publicado no blog Bonde Andando, cá no blogspot, assim como minha tradução ao inglês e também esta.
RépondreSupprimerGrande abraço