Avec mes cheveux presque possibles, j’arrive chez toi comme un mouton , n'est-ce pas?
Là, trop souvent je deviens un paresseux d'Amérique tropicale appartenant au super-ordre des xénarthres.
Ensuite, fourmi qui aime le sucre, ou écureuil aux longs doigts à jouer sans arrêt de ta guitarre, chez moi.
Oui, Petite, je suis un véritable partisan de l’anthropozoomorphisme.
dimanche 16 mai 2010
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até monsieur de La Fontaine ficaria intrigado com essa fábula...
RépondreSupprimerAposto que sim, Piccola. E que pestigioso não seria se pudésssemos ter tão notório fabulista como leitor deste blog, hein?. Uh la la!
RépondreSupprimerMeus antropobeijos